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Jean Prouvé constructeur

  • Guy Olivier
1980
31min

Synopsis

Jean Prouvé (1901-1984) retrace dans cet entretien intimiste son parcours d’architecte autodidacte.

Après des collaborations avec Le Corbusier ou Mallet Stevens en tant que ferronnier d’art, ses recherches sur des systèmes constructifs novateurs (ossatures métalliques) l’amenèrent à la conception architecturale qu’il relia à des modes de production industriels (préfabrication).

L’oeuvre est très peu montrée, quelques photographies de bâtiments et presqu’aucun meuble. Le réalisateur a privilégié le portrait d’un homme qui a compris et traversé avec une cohérence étonnante les grands bouleversements qui agitèrent les pratiques architecturales des années 1920 aux années 1980, tant au niveau des concepts et techniques que du contexte social de la commande.

Prouvé associe recherche esthétique et technologie en une quête de la légèreté où le beau devient la juste répartition de la matière et des tensions. Cette conception l’amène à critiquer vivement la séparation des rôles dans le déroulement du projet et à lui opposer la notion “d’architecte-constructeur” intervenant à tous les stades.

Mots clés

Jean Prouvé (1901-1984) retrace dans cet entretien intimiste son parcours d’architecte autodidacte. Après des collaborations avec Le Corbusier ou Mallet Stevens en tant que ferronnier d’art, ses recherches sur des systèmes constructifs novateurs (ossatures métalliques) l’amenèrent à la conception architecturale qu’il relia à des modes de production industriels (préfabrication).

L’oeuvre est très peu montrée, quelques photographies de bâtiments et presqu’aucun meuble. Le réalisateur a privilégié le portrait d’un homme qui a compris et traversé avec une cohérence étonnante les grands bouleversements qui agitèrent les pratiques architecturales des années 1920 aux années 1980, tant au niveau des concepts et techniques que du contexte social de la commande. Prouvé associe recherche esthétique et technologie en une quête de la légèreté où le beau devient la juste répartition de la matière et des tensions.

Cette conception l’amène à critiquer vivement la séparation des rôles dans le déroulement du projet et à lui opposer la notion “d’architecte-constructeur” intervenant à tous les stades.

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