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Histoire(s) du cinéma : la monnaie de l’absolu, une vague nouvelle. 3

  • Jean-Luc Godard
1998
53

Synopsis

« Citant, juxtaposant, triturant, célébrant le 7e art comme une synthèse des six autres, Godard refait le XXe siècle en un vertigineux rébus.
Jean-Luc Godard a travaillé à ces « Histoire(s) » pendant dix ans. Seul ou presque. Coupant, triturant, agrégeant des centaines d’enregistrements vidéos archivés par ses soins.
Les idées qui président à cette anthologie très spéciale sont simples : seul le cinéma, septième et dernier art, est capable de chapeauter et de mettre en regard tous les autres, toutes les formes antérieures de création ; seul le cinéma est capable de raconter notre siècle puisque l’histoire de l’un se confond avec celle de l’autre. » (Télérama)

Les Russes ont fait des films de martyre. Les Américains ont fait des films de publicité. Les Anglais ont fait ce qu’ils font toujours dans le cinéma, rien. L’Allemagne n’avait pas de cinéma, plus de cinéma. Et les Français ont fait Sylvie et le fantôme. Les Polonais ont fait deux films d’expiation, La Passagère et La dernière étape, et un film de souvenir, Kanal. Et puis ils ont fini par accueillir Spielberg lorsque “plus jamais ça” est devenu “c’est toujours ça”.

Tandis qu’avec Rome, ville ouverte l’Italie a simplement reconquis le droit pour une nation de se regarder en face. Et alors est venue l’étonnante moisson du grand cinéma italien. Mais il y a une chose étrange cependant. Comment le cinéma italien a-t-il pu devenir si grand puisque tous, de Rossellini à Visconti, d’Antonioni à Fellini, n’enregistraient pas le son avec les images

Une seul réponse. La langue ‘Ovide et de Virgile, de Dans et e Leopardi, était passée dans les images.

Mots clés

« Citant, juxtaposant, triturant, célébrant le 7e art comme une synthèse des six autres, Godard refait le XXe siècle en un vertigineux rébus.
Jean-Luc Godard a travaillé à ces « Histoire(s) » pendant dix ans. Seul ou presque. Coupant, triturant, agrégeant des centaines d’enregistrements vidéos archivés par ses soins.
Les idées qui président à cette anthologie très spéciale sont simples : seul le cinéma, septième et dernier art, est capable de chapeauter et de mettre en regard tous les autres, toutes les formes antérieures de création ; seul le cinéma est capable de raconter notre siècle puisque l’histoire de l’un se confond avec celle de l’autre. » (Télérama)

 

Les Russes ont fait des films de martyre. Les Américains ont fait des films de publicité. Les Anglais ont fait ce qu’ils font toujours dans le cinéma, rien. L’Allemagne n’avait pas de cinéma, plus de cinéma. Et les Français ont fait Sylvie et le fantôme. Les Polonais ont fait deux films d’expiation, La Passagère et La dernière étape, et un film de souvenir, Kanal. Et puis ils ont fini par accueillir Spielberg lorsque “plus jamais ça” est devenu “c’est toujours ça”.

Tandis qu’avec Rome, ville ouverte l’Italie a simplement reconquis le droit pour une nation de se regarder en face. Et alors est venue l’étonnante moisson du grand cinéma italien. Mais il y a une chose étrange cependant. Comment le cinéma italien a-t-il pu devenir si grand puisque tous, de Rossellini à Visconti, d’Antonioni à Fellini, n’enregistraient pas le son avec les images

Une seul réponse. La langue ‘Ovide et de Virgile, de Dans et e Leopardi, était passée dans les images.

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