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Je suis fou, je suis sot, je suis méchant : autoportrait de James Ensor (1860-1945)

  • Luc de Heusch
1990
55

Synopsis

Portrait du peintre et graveur belge James Ensor, né en 1860 à Ostende. Le monologue qui forme la trame dramatique du film, dit par le comédien Jacques Dufilho, est composé de divers écrits, discours et harangues empruntés au peintre et illustrés par des peintures, gravures, photos et archives filmées. Ces documents sont complétés par des témoignages, comme celui du cinéaste Henri Storck qui eut l’occasion de filmer Ensor à plusieurs reprises. Bien que seules trois ou quatre toiles parmi les œuvres montrées soient citées explicitement, tout contribue à la découverte de l’univers pictural et mental de l’artiste. James Ensor ne quitta jamais Ostende, “reine de la mer, déesse de la lumière blonde”, ni le magasin de coquillages hérité de ses parents, domaine ensorcelé. Extraits des films : Idylle à la plage (1931) et La joie de revivre (1947) d’Henri Storck, Michel de Ghelderode (1957) de Luc de Heusch, Masques et visages de James Ensor (1948) de Paul Haesaert.

Mots clés

Portrait du peintre et graveur belge James Ensor, né en 1860 à Ostende. Le monologue qui forme la trame dramatique du film, dit par le comédien Jacques Dufilho, est composé de divers écrits, discours et harangues empruntés au peintre et illustrés par des peintures, gravures, photos et archives filmées. Ces documents sont complétés par des témoignages, comme celui du cinéaste Henri Storck qui eut l’occasion de filmer Ensor à plusieurs reprises. Bien que seules trois ou quatre toiles parmi les œuvres montrées soient citées explicitement, tout contribue à la découverte de l’univers pictural et mental de l’artiste. James Ensor ne quitta jamais Ostende, “reine de la mer, déesse de la lumière blonde”, ni le magasin de coquillages hérité de ses parents, domaine ensorcelé. Extraits des films : Idylle à la plage (1931) et La joie de revivre (1947) d’Henri Storck, Michel de Ghelderode (1957) de Luc de Heusch, Masques et visages de James Ensor (1948) de Paul Haesaert.

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